« Si vous voulez prendre le pouvoir absolu, vous devez coloniser la structure du pouvoir très lentement. Vous devez influencer leurs esprits. Vous devez changer la culture. Cela semble très ésotérique et spirituel mais ce n'est pas le cas. Fondamentalement, Gramsci soutient que vous devez vous emparer de la presse et du système éducatif, et lentement mais sûrement faire dans chaque institution dotée d'un certain pouvoir ce que vous faites dans un parti politique. Les partis politiques fonctionnent en embauchant des personnes loyales en profitant de leur bas statut. Eh bien, trouvez un moyen de vous introduire dans les ressources humaines de chaque école, de chaque journal, de chaque département gouvernemental, de chaque conseil judiciaire. Et faites exactement la même chose. Jusqu'à ce que vous dirigiez tout. Ça a l'air facile, hein? Non, ça a l'air compliqué comme l'enfer. Et ça l'était. Mais pas tant que ça; après tout, il y a des économies d'échelle assez évidentes dans le trafic d'influence. Un gars connaît un gars qui connaît un gars. La grande découverte du XXᵉ siècle n'était pas la puissance atomique. C'était le pouvoir des cliques. Quelques personnes en position de pouvoir qui s'entraident sont la force la plus puissante de l'univers. Elles peuvent faire que les mensonges deviennent vérité. »
🏴☠️🌅⚡️⚔️« En Algérie, nous combattions pour nous-mêmes, pour notre droit à un destin, pour notre dignité. Nous combattions pour relever le défi des défaites passées, pour effacer l’humiliation intolérable et la douleur. Nous combattions pour garder notre bien, pour conserver une terre acquise par le droit de conquête, de sang, de sueur et de colonisation. Nous combattions pour défendre sur cette terre, nos berceaux et nos cimetières. Nous combattions pour protéger les nôtres en danger. »
Le Cœur Rebelle (1994), Dominique Venner, éd. Pierre-Guillaume De Roux, 2014.
« Nous étions enragés. Nous chassions les Lettons (rouges) comme des lièvres à travers champs, nous incendiions toutes les maisons, nous réduisions en miettes tous les ponts jusqu'au dernier pilier, nous abattions tous les poteaux télégraphiques. Nous jetions les cadavres au fond des puits et nous lancions des grenades par-dessus. Nous renversions tout ce qui nous tombait sous la main, nous mettions le feu à tout ce qui pouvait brûler. Nous voyions rouge, plus un sentiment humain ne subsistait dans nos cœurs. Partout où nous avions saccagé, le sol criait sous la destruction. Où nous avions attaqué il ne restait des anciennes maisons que des décombres, des cendres, des débris de bois rougeoyants comme un large ulcère sur des champs dévastés. Un drapeau de fumée marquait notre chemin. Nous avions allumé un bûcher où ne brûlaient pas que des objets inanimés mais nos espoirs, nos aspirations, les lois de la bourgeoisie, les valeurs du monde civilisé… »
« Pour maintenir sa suprématie, Sparte devient un camp militaire placé sous la surveillance des éphores. « Les Spartiates, écrit Aristote, perfectionnèrent leur entraînement et leur discipline militaire dans un temps où les autres Grecs négligeaient l'une et l'autre et leur supériorité était celle d'hommes exercés sur des hommes qui ne l'étaient pas. » Les libres citoyens de Lacédémone ne connaîtront jamais de repos. Enchaînés à leur conquête, ils sont voués au prodige permanent ou à la disparition. Le prodige durera près de cinq siècles. Il repose sur l'institution d'une aristocratie militaire proche de la perfection, sur un danger constamment affronté, enfin sur l'acceptation délibérée, renouvelée génération après génération, d'une exceptionnelle destinée. »
L’affaire de Rotherham dépasse l’entendement, les détails des viols de ces pauvres gamines sont d’un sadisme difficilement imaginable. 25 ans d’ignominies couvertes par la bien-pensance antiraciste. Les peuples blancs doivent dès maintenant réapprendre à être raciste, à faire preuve d’un peu plus de fraternité entre eux, à appliquer la préférence raciale mais aussi s’impliquer un peu plus dans la défense de leurs frères et sœurs ethniques…