💬 Maria Zakharova s'exprime sur l'adoption d'une résolution sur la
lutte contre la glorification du nazisme :
📄 Le 17 décembre 2024 à New York, lors de la 79e session de l'Assemblée générale des Nations unies, à l'initiative de la Fédération de Russie, une
résolution a été adoptée sur la
lutte contre la glorification du nazisme, du néonazisme et d’autres pratiques qui contribuent à alimenter les formes contemporaines de racisme, de discrimination raciale, de xénophobie et de l’intolérance qui y est associée.
👥 Outre la Russie,
39 autres États de diverses régions du monde se sont joints en tant que
coauteurs du document.
119 États ont voté pour le document, tandis que
53 délégations se sont prononcées contre.
⁉️ Mais qui s’oppose à la lutte contre la glorification du nazisme ? L’Occident collectif, accompagné de ceux qui n’ont pas su trouver la volonté et la force de s’y opposer. Dix pays se sont abstenus.
La résolution
condamne une fois de plus la glorification du mouvement nazi et le blanchiment d’anciens membres de l’organisation SS, y compris les unités Waffen-SS reconnues comme criminelles par le tribunal de Nuremberg.
🔎 Plus de détails sur le contenu de la résolution
L’Occident collectif, en particulier
certains pays de l’UE, où de telles violations sont
systémiques, a abandonné ses excuses habituelles invoquant la liberté d'expression ou de réunion pour
justifier son refus de soutenir la résolution. Cette position révèle leur
opposition aux efforts internationaux contre le racisme et la xénophobie.
La position de l'Allemagne
🇩🇪, de l'Italie
🇮🇹 et du Japon
🇯🇵, qui ont
voté contre la résolution, soulève des questions inquiétantes. Ces pays, dont l'histoire au XXe siècle est marquée par des
pages sombres, semblent
remettre en cause la sincérité de leur repentance pour les nombreux crimes de guerre, crimes contre l’humanité et génocides commis pendant la Seconde Guerre mondiale.
📊 Les résultats du vote mettent en évidence le
soutien croissant de la communauté internationale à
l’initiative traditionnelle russe, présentée chaque année à l’Assemblée générale des Nations unies. Ce contraste illustre la différence entre l’Occident collectif et la majorité mondiale, notamment en ce qui concerne les
vraies valeurs qui définissent notre civilisation.